Le Tintoret, Delacroix, Rubens, etc ce sont les églises qui donnent un plus aux amateurs de l’art. Cependant, un guide fait l’inscription des lieux de culte de Paris qui gardent et cachent les oeuvres à redécouvrir alors que les musées demeurent fermés. À titre d’exemple, «Les Pèlerins d’Emmaüs» de Rubens fut placé à nouveau dans l’église Saint-Eustache après restauration dans l’automne 2020.
Les musées Français VS les églises
Pendant que les musées sont fermés, les églises demeurent ouvertes. Elles renferment des ornements précieux d’or, d’argent, de pierreries, etc, qui méritent d’être revisité et redécouverts. Dans ce contexte, Art, Culture et foi a publiée un guide du patrimoine religieux, qui est édité toutes les années. C’est une association créée en 1989 par le grand Cardinal Lustiger. La publication du 22e édition en janvier expose un intérêt plus particulier en ce temps de la pandémie.
Plusieurs lieux sont répertoriés, des lieux où les visiteurs pourront voir les toiles de Delacroix, de Rubens ou du Tinterot, certaines sculptures de Bourchardon, y compris un grand nombre d’innovations et de créations contemporaines. C’est une autre dimension atteinte par l’art et la religion. On parlait de la fusion entre les marques et l’art. Cette fois-ci l’art fait encore un part de géant.
Les catholiques plus nombreux que les autres dénominations
La plupart des lieux recensés sont catholiques, il y a trois qui sont protestantes et une seule est orthodoxe. «Les pierres parlent», une application qui permet de faire les visites, tout en scannant le code QR qui accompagne chaque endroit. En effet, le président de l’association Art, culture et foi, François Drouin déclare, «On peut même cliquer de chez soi, et ainsi faire une visite depuis son lit… » tout en amusant la galerie. En 2019, 10 000 connexions furent enregistrées et en 2020, on a fait un enregistrement de 13 000, en dépit de la pandémie. Plus de 50 % de ceux qui ont utilisé l’application ont n’ont pas 35 ans.